Le Quotidien 2024-07-21

 

Le mot de…

Avi Shoshani


Chaque jour, un membre de l’équipe vous raconte son Verbier Festival

Avi Shoshani
Co-Fondateur & Consultant artistique

Le Festival est né du rêve de deux hommes : Martin Engstroem et moi-même. Nous étions un peu naïfs et nous croyions à l’époque que nous pouvions créer un monde sans contrainte : nous rêvions de sommets.

Nous nous sommes rendu compte dès le départ que la réalité pouvait nous faire tomber. Mais après 30 ans d’efforts incessants, je peux humblement dire que le Festival d’aujourd’hui n’est pas loin de notre rêve initial. Le plus beau, c’est que nous continuons à rêver et que nous cherchons toujours à nous réinventer.

Nos 30 années d’expérience nous ont permis de croire qu’en dépit de l’horrible réalité du 21e siècle, nous disposons encore d’un espace suffisant pour rêver en musique. Avec le Festival, nous avons l’intention de continuer à rêver. Et nous sommes convaincus de l’importance que nous apportons au monde.

Programme
du jour

Prochains concerts

21.07 | 18:30 | Combins | Récital piano | Evgeny Kissin

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22.07 | 18:30 | Combins | Concert symphonique | VFO / Petrenko / Lugansky

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Le questionnaire de Proust

Evgeny Kissin


Chaque jour, un artiste se prête au jeu !

Le principal trait de mon caractère:

La sincérité

Mon principal défaut:

C’est un secret ! – J’essaie toujours de cacher mes défauts

Ma principale qualité:

La sincérité

Mes héros dans la fiction:

Hamlet, Cordélia, Don Quichotte, Werther, Charlotte, Faust, Nathan le Sage, David Copperfield, Agnes Wickfield, Stempenyu, Rachel, Tevye le laitier et ses filles, Leo Rafalesko, Rosa Spivak, Filipp Preobrazhensky, le Maître, Margarita Nikolaevna, Hannah Greenbaum, Michael Gonen

Mes héros dans la vie réelle:

Simon bar Giora, Rabbi Akiva, Simon bar Kokhba, Ivan Mazepa,Tadeusz Kościuszko, Eliezer Ben-Yehuda, Emmeline Pankhurst, Theodor Herzl, Mykhailo Hrushevsky, Winston Churchill, Vladimir Jabotinsky, Solomon Mikhoels, Irena Sendler, Rosa Parks, Mordechai Anielewicz, Andrey Sakharov, Elie Wiesel, Vaclav Havel, Vasyl Stus, Merab Kostava, Yonatan Netanyahu, Natan Sharansky, Jan Palach, Anna Politkovskaya, Alexey Navalny, Volodymyr Zelensky, Vladimir Kara-Murza, Ilya Yashin

Ma nourriture et boisson préférées:

Khachapuri, khinkali, basturma, agneau à l’ail, sushi, mozzarella di buffala, foie haché, tafelspitz, kaiserschmarrn, sachertorte

Ce que je déteste par-dessus tout:

Le communisme, le fascisme, le nazisme, la théocratie – tout ce qui va à l’encontre de la liberté et de la démocratie

Le don de la nature que je voudrais avoir:

La sagesse

Comment j’aimerais mourir:

Je ne voudrais pas

Ma devise:

« Le chien-loup a raison, le cannibale a tort ».
(Cette citation est tirée du roman d’Alexandre Soljenitsyne « Le premier cercle »)

 


21.07 | 18:30 | Combins | Récital piano | Evgeny Kissin

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24.07 | 22:00 | Cinéma | Poésie | Kissin / Smekhov

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Mainstage

Entretien
avec Tsotne Zedginidze
« Je développe des compositions à partir de mes improvisations »

 

Unanimement applaudi par le public et la presse, le jeune pianiste et compositeur géorgien de quatorze ans revient à Verbier pour la troisième saison consécutive. Celui que Daniel Barenboïm a surnommé « le Mozart du XXIe siècle » sera demain aux Combins, où le public de Verbier l’entendra pour la première fois en concerto.

Tsotne Zedginidze, votre carrière a pris une nouvelle dimension depuis l’été dernier. Vous avez fait cet hiver vos débuts avec orchestre sous la direction de Sir Simon Rattle. Qu’est-ce que cela a représenté pour vous ?

Enfant, j’avais déjà joué le Concerto pour piano N° 2 de Chostakovitch dans mon pays. J’ai également composé une Fantaisie pour piano et orchestre en 2022, que j’ai donnée à l’Audi Sommerkonzerte d’Ingolstadt. Le monde symphonique ne m’était donc pas inconnu, mais le concert avec Sir Simon Rattle a été ma première d’un concerto en Europe, et une expérience inoubliable. Simon Rattle était venu écouter mon premier récital à Verbier, en 2022. Le programme réunissait des œuvres de Debussy, Bartók, Schönberg et moi-même. Il est venu me voir à la fin et m’a dit qu’il voulait donner le Concerto pour piano de Schoenberg à Munich. Je connaissais Sir Simon Rattle par des enregistrements, et il était l’un de mes interprètes préférés depuis l’enfance. Notre concert m’a laissé des souvenirs inoubliables, il était fascinant de recevoir ses conseils concernant l’interprétation. Et d’observer comment il travaille avec l’orchestre pour affiner les intonations et réaliser ses idées musicales.

Debussy, Bartók, Schönberg, vous avez un lien particulier avec le répertoire du XXe siècle ?

Ce lien remonte à l’enfance, et l’une des raisons en est mon amour pour l’opéra. Le répertoire du XXe siècle est celui dont je me sens le plus proche, depuis que j’ai découvert Lulu de Berg et Le Château de Barbe-Bleue de Bartók sur Mezzo et Medici à l’âge de sept ans. Ces deux œuvres m’ont fasciné. Je les ai écoutées plus de vingt fois chacune ! Aujourd’hui encore, Berg et Bartók font partie de mes compositeurs préférés.

Vous avez choisi d’interpréter à Verbier le Concerto pour piano N° 1 de Béla Bartók. Pourquoi le premier ?

J’aime le mélange de musique folklorique et de modernisme de Bartók. D’une part, il reflète des thèmes folkloriques, mais d’autre part, son langage musical est très nouveau et original. Ses deux premiers concertos sont extrêmement difficiles. Le second est plus souvent donné, mais ma préférence va au premier, que j’aime depuis l’enfance. Je me sens plus en affinité avec lui, avec son style et son langage musical.

Vous serez à l’Église le 22 juillet, avec une nouvelle création : un trio avec piano que vous jouerez avec Michael Barenboïm et Bryan Cheng. Quelles sont vos principales références en matière de trio ?

C’est la première fois que j’aborde ce genre dans mon travail, c’est un nouveau défi ! Je l’ai écrit sans influence particulière, avec mon propre langage musical. Lorsque je m’assieds au piano, je commence à improviser naturellement, puis je développe des compositions à partir de mes improvisations. Mes compositions sont de ce fait essentiellement abstraites, sans aucune référence ou idée concrète. Je suis heureux de revenir à Verbier avec une œuvre nouvelle, et de retrouver tous les musiciens extraordinaires qui font du Festival ce qu’il est !

Propos recueillis par Laetitia Brancovan


21.07 | 14:30 | Combins | Concert symphonique | VFJO / Gaffigan / Zedginidze

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22.07 | 19:30 | Église | Musique de chambre | Rencontres Inédites II |

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Academy

Success Story :
Timothy Ridout

 

Altiste de renommée internationale, soliste et chambriste couronné de prix et distinctions, Timothy Ridout a découvert Verbier en 2016, dans le cadre de l’Academy. L’alumnus participe aujourd’hui et demain à deux Rencontres Inédites.

Je rêvais de jouer à Verbier depuis que j’y étais venu comme étudiant de l’Academy, confie l’altiste. Les montagnes m’ont stupéfait d’abord, une verticalité rocheuse comme je n’en avais jamais vue. J’étais venu en ensemble constitué, un quatuor devenu finalement trio à cordes parce que le pianiste était tombé malade.

Ces trois semaines de l’été 2016 furent inoubliables. J’ai pu travailler avec trois des plus grands altistes d’aujourd’hui, Lawrence Power, Tabea Zimmermann et Nobuko Imai avec qui j’ai fait ensuite mon Master à l’Académie Kronberg en Allemagne. De grands moments de musique me reviennent immédiatement en mémoire : un concert du Quatuor Ébène, un incroyable récital du violoniste Benjamin Beilman et, sous la tente des Combins, un concerto pour piano de Beethoven par Sir András Schiff et le VFCO sous la direction de Gábor Takács-Nagy.

Aujourd’hui, je me produis régulièrement avec des artistes rencontrés à Verbier. Thomas Rief, par exemple, violoniste de mon trio lors de l’Academy de 2016, est violon solo à l’Orchestre symphonique de la radio bavaroise. J’ai joué avec cet orchestre la Rhapsodie-concerto pour alto de Martinů début juin, sous la direction de Sir Simon Rattle que je suis heureux de retrouver à Verbier. J’ai enregistré mon album The Poet’s Love – des transcriptions de Roméo et Juliette de Prokofiev et de lieder de Schumann – avec le pianiste Frank Dupree, dont j’ai fait la connaissance à Verbier. Je pourrais citer encore des concerts avec Gábor Takács-Nagy, ainsi qu’une Symphonie concertante de Mozart au Boswil Festival, en Suisse, en 2019, avec Alexander Sitkovetski au violon.

Le répertoire de l’alto est souvent décrié pour sa prétendue pauvreté. Beaucoup de créations du 20e et 21e siècle viennent pourtant à l’encontre de cette idée reçue.

Le 19e siècle ne fut certes pas un âge d’or pour l’alto, mais au début du 20e, l’altiste anglais Lionel Tertis a joué un rôle déterminant dans l’histoire de l’instrument. Né en 1876, la même année que Pablo Casals, il a été le dédicataire de nombreuses sonates et concertos, notamment d’Arnold Bax, Arthur Bliss, William Walton. Le répertoire de l’alto est très étendu aujourd’hui, sans compter les créations. Je dois ainsi donner en première audition mondiale à Berlin, le 15 décembre prochain, Hold your heart in your teeth, un concerto pour alto que le compositeur britannique Mark Simpson a écrit à mon attention.

Vous enseignez depuis un an à la Royal Academy of Music de Londres où vous avez étudié vous-même. Que cherchez-vous d’abord à transmettre aux jeunes interprètes ?

Chacun diffère des autres et doit être pris à son stade de développement. Certains ont un niveau technique supérieur, mais une musicalité à développer. D’autres doivent encore avancer sur le plan instrumental. Mais tous, je les encourage à utiliser leur imagination pour trouver une palette expressive et de couleurs qui rende la musique toujours vivante, alerte.

La très grande richesse de couleurs est l’une des qualités spécifiques de mon alto, un merveilleux Peregrino Di Zanetto (1565-1575), prêté par la Beare’s International Violin Society. Un peu plus grand que la moyenne, il est moins facile à jouer que d’autres altos, mais sa profondeur et son pouvoir expressif sont incomparables, et sa gamme de couleurs extraordinaire. Quand on les fait vivre, quelle gratification !


21.07 | 19:30 | Église | Musique de chambre | Rencontres Inédites I

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21.07 | 22:00 | Experimental Chalet | Off the record | vinyl listening session

Gratuit

22.07 | 19:30 | Église | Musique de chambre | Rencontres Inédites II

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Propos recueillis par Laetitia Le Guay-Brancovan

 

Il était une fois
en Val de Bagnes…


Chaque jour, un clin d’oeil à l’histoire de notre région

21 juillet 1791 : Première foire annuelle au Châble .

 

VF Gold

Les trésors des archives du Verbier Festival


Chaque jour, découvrez un album
de notre playlist VF Gold

MARTHA ARGERICH, EVGENY KISSIN,
THE VERBIER FESTIVAL CONCERTS

Works by
Mozart
Debussy
Ravel
Milhaud
Brahms
Lutosławski

Martha Argerich, Evgeny Kissin : The Verbier Concerts

 

 

Un regard sur Verbier


Chaque jour, une devinette en photo

Devinez où ce détail a été photographié ? Réponse demain dans le prochain numéro

Réponse du Quotidien d’hier : Le mur du restaurant le Caveau, Place Centrale

 

À la rencontre
d’une festivalière


Chaque jour, une festivalière nous décrit en une phrase le Verbier Festival

« Je souhaite initier ma fille au monde de la musique classique et le Verbier Festival est l’endroit idéal pour le faire. »

Linda (50 ans) et sa fille Katherine (11 ans)
découvrent le Verbier Festival pour la première fois.

 

 

Bar Avni : Une immense vague de son et d’énergie

Idealab propose des rencontres entre le public et des personnalités qui font bouger le monde de la musique. Cette année, les discussions portent sur le cerveau : l’utilisation de la musique pour traiter les troubles cérébraux et l’entraînement mental pour optimiser nos performances. Première thématique : « Unlocking the Mind’s Potential : Excelling Under Pressure ». La cheffe d’orchestre Bar Avni y dialoguera avec le pianiste Nicolas Namoradze, et le psychologue de performance, Gary Leboff. Entretien avec la maestra.

Bar Avni, vous avez remporté en mars dernier cinq prix au prestigieux concours la Maestra de Paris, dont le Premier Prix. « C’est un long rêve qui se réalise » avez-vous alors déclaré sur scène. À quand remonte votre passion de la direction ?

Je suis un animal d’orchestre. Étant percussionniste, j’ai tout de suite joué dans des formations symphoniques. Le choc de la direction, je l’ai eu très jeune, à 10 ans, grâce au chef Ofer Ein-Habar, une personnalité importante de ma ville natale, très investi dans l’éducation musicale. Il m’a permis de diriger un orchestre junior alors même que je ne savais que battre la mesure. Ce que j’ai ressenti alors, je l’éprouve toujours : sur l’estrade, face à l’orchestre, vous initiez une énorme vague d’énergie qui vous revient aussitôt, décuplée. Sous la forme d’un flot de son et d’énergie : celle que les musiciens donnent en jouant. Ensuite, vous avez la sensation de déplacer cette vague. L’expérience, mentale et physique, ne ressemble à rien d’autre. Elle est incroyable.
L’orchestre est installé en demi-cercle. Le chef referme ce cercle par sa position et reçoit tout. Il ressent aussi le public, même s’il est dans son dos. Le chef est le connecteur entre les musiciens et les spectateurs. Quand tout se passe bien, la vague emporte tout : l’orchestre, le chef et le public.

À côté des concerts que vous donnez à la tête de nombreux orchestres, vous êtes fortement investie dans des projets éducatifs. Est-ce par regret de voir la musique occuper si peu de place chez les jeunes ?

Je ne suis pas nostalgique du passé. Autrefois la musique classique était partout, ce n’est plus le cas. À quoi bon le déplorer ? Je veux vivre dans le présent. Je pense néanmoins que l’expérience de la musique échappe au temps qui passe. Pour ceux qui la vivent, elle reste et restera intense, bouleversante.

Je suis animée par le désir de faire découvrir la musique aux jeunes qui n’en ont jamais eu la chance, d’où le programme pédagogique que j’ai initié avec mon orchestre, les Bayer Philharmoniker. Nous avons mis en place, par exemple, des ateliers de direction dans les écoles. Face à un groupe de musiciens plus âgés qu’eux, les enfants apprennent à s’imposer par leur présence et leur concentration. Ils prennent conscience de l’importance du maintien, du regard, de la transmission. Quand vous dirigez, vous devez exprimer un degré de tension et envoyer un message par votre énergie. Sinon, il ne se passe rien.
J’ai aussi organisé des ateliers de percussions corporelles : les enfants frappent avec et sur leurs mains, pieds, bras, ventre… Ils composent des morceaux avec leur corps. Quand vous proposez des projets éducatifs, le manque d’argent, de temps, ou de personnes pour les mener à bien, vous sont opposés comme autant d’obstacles. J’ai donc mis en place les projets les plus simples possibles, pour qu’ils soient réalisables.

Vous allez participer à l’ideaLab « Unlocking the Mind’s Potential: Excelling Under Pressure ». Quelle est votre expérience personnelle en la matière ?
Je ne veux pas dévoiler les échanges de tout à l’heure, mais il est prouvé, sur le plan énergétique, que le stress nous rend moins bons. La concentration et la performance technique en sont amoindries. Lutter contre la pression ne fait que l’accroitre, en prendre conscience, en revanche, libère. Personnellement, si je suis un peu moins à l’écoute un jour, sous le coup de la pression, je relativise à la fin : « Je suis toujours vivante, j’ai toujours deux pieds, deux mains, un cœur, un cerveau. J’ai malgré tout essayé d’être au top. La vie continue. Je peux recommencer. Et je poursuis dans cette profession si extraordinaire et que j’ai tant de chance d’exercer.

 


21.07 | 22:00 | Hameau | Idealab | excelling under pressure (en)

Gratuit

 

 

Propos recueillis par Laetitia Le Guay-Brancovan

 

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Valmont

Valmont, un nom évoquant à la fois la vallée et la montagne.

Sept lettres qui incarnent une alliance exclusive entre la richesse des ressources naturelles et le prestige scientifique. Une marque de cosmétique cellulaire suisse, portée au sommet des marques anti-âge par Sophie Vann Guillon et Didier Guillon. Elle, CEO et créatrice, sublime des formules d’exception. Lui, passionné d’art, bâtit des ponts inédits. Chez Valmont, l’art est une devise et la communication un art en soi.

Fini les beautés plastiques et artificielles, bienvenue aux beautés authentiques et contemporaines. Valmont, expert suisse en cosmétique, a compris que la beauté de demain passe par la santé d’aujourd’hui. Résultat ? Trois marques complémentaires et pionnières : Valmont pour la cosmétique cellulaire, l’Élixir des Glaciers pour des soins d’exception, Storie Veneziane by Valmont pour la haute parfumerie. Des produits novateurs utilisant des ingrédients naturels uniques et des technologies brevetées fondements de soins non-conventionnels.

Valmont redonne de façon immédiate, éclat et jeunesse à la peau. Une nouvelle clientèle devient fidèle, séduite par la cosmétique autant que par l’esprit des trois autres piliers du Groupe : le parfum, l’art et l’hospitalité. Valmont, plus qu’un nom, un véritable art de vivre.

La Maison Valmont Verbier

À Verbier, la magie opère depuis 20 ans. À deux pas des pistes en hiver ou du festival en été, impossible de résister à ce havre de paix et de tranquillité. Ce cocon raffiné marie ingrédients naturels, rigueur scientifique et tradition helvétique, offrant une mise en musique de l’expertise et de la philosophie Valmont à travers des traitements incomparables. Une véritable symphonie sensorielle.

Valmont incarne « the Magician of Touch » et bien plus encore. En cabine, l’expertise anti-âge s’exprime à travers des soins sur-mesure pour le visage et le corps. Des soins essentiels, fondateurs et incontournables, où la peau se métamorphose sous le geste expert du mouvement papillon. Une gestuelle sensorielle signature, un « effet Waouh » indissociable de chaque traitement.

La Maison Valmont offre bien plus que des soins pour la peau. Les soins et rituels s’accompagnent d’une musique personnalisée, une caresse pour l’ouïe composée par le musicien suisse Ripperton. L’atmosphère chaleureuse invite à l’éveil intérieur, artistique grâce aux œuvres prêtées par la Fondation Valmont et olfactif avec les parfums raffinés Storie Veneziane.

Fondation Valmont, l’art en héritage.

Née de la volonté d’ancrer durablement l’engagement artistique du Groupe, Fondation Valmont perpétue la mission de sa maison mère : promouvoir l’art, le beau, le rare. De ses racines elle puise ses valeurs ; qualité, esthétisme, générosité et durabilité ; le ciment d’une immuable quête de transmission.

Exposition actuelle :

Ulysses. We are all Heroes,  donne vie à l’esprit de l’épopée homérique L’Odyssée dans le contexte de notre monde contemporain jusqu’au 23.02.25

Fondation Valmont , Palazzo Bonvicini, Venise

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